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eclat de crystal

eclat de crystal
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eclat de crystal
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3 juillet 2005

Je vous aime !

006_051Une douce torpeur m'envahit,
Elle m'entoure et me pénètre,
Tandis que soudain je revis
Grâce à la pureté de vos êtres.

Chacun y trouvera sa place,
Chacun à persister avec effort
pour briser mon mur de glace
Et me prouver que j'avais tord.

La vie n'est pas si horrible,
Il suffit simplement d'y croire.
L'espoir est maintenant lisible
Dans mon monde si noir.

Grâce à vous, mes amours
Grâce à votre amitié bénite
L'espoir a revu le jour
En cette journée innédite.

Je vous aime !

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2 juillet 2005

un éclat de crystal dans un autre monde

voilà,
Grâce à Adrastée et ses nombreux et très utiles conseils (merci mon ange) j'ai pu créer un blog un peu plus, personnalisé, même si ce n'est pas encore parfait.
Il a les mêmes fonctions que "entre la vie et la terre" mais simplement plus en accord avec mes visions du moment.

Encore un gros merci à ma louli sucrée d'amour (private joke) pour l'aide que tu m'as apporté ! A jamais dans mon coeur. ^^

1 juillet 2005

Vivez heureux !

11563_436820625_gothique_6_h130258_lIl existe une petite maison au bout d’une petite rue.
Tout est fait pour être parfait.
Le balcon à la rambarde en fer forgé est recouvert de rosiers grimpants, le jardin est touffu et fleuri et le pommier est en fleurs. Les vitres reflètent le soleil et renvoient les chants des multiples oiseaux ayant trouvé refuge aux creux des arbres.
La maison est grande, belle, magnifique : une cuisine au ré de chaussée, une grande salle à manger remplie de tableaux colorés, un escalier au bois grinçant et à l’étage des chambres et une salle de bain. Les chambres sont toutes assorties selon leur logeur. La petite fille rose a une chambre rose, le petit garçon a accroché des avions partout et les parents ont recouvert les murs de tentures, de tableaux et de décorations. Au fond du couloir, une petite pièce renferme le dernier enfant, la dernière d’ailleurs. Des posters, des affiches de cinés, des cartes postales, des photos et des lettres recouvrent les murs. Une musique continue se fait entendre par tous, provenant de cette pièce reculée. La salle de bain est certainement la seule pièce rangée…
Les repas se font à cinq le matin, avant le départ de chacun. Le soir, tout le monde se retrouve autour d'une même table. La présence de chacun apporte quelque chose à la pièce. On croirait un vrai tableau bourgeois.Toute la maison vous disais-je est faite pour accueillir le bonheur. Mais lequel ?
Car toute cette petite famille vous paraît certainement baigner dans le bonheur. Mais détrompez vous !
Parce que pour vous un petit déjeuner où pas un seul mot n’est prononcé de peur de faire éclater la pièce c’est le bonheur ?
Une mère opprimée, un père dépressif et colérique, une petite fille apeurée, un petit garçon qui ne comprend pas et une ado qui pleure c’est le bonheur pour vous ?
Des assiettes fracassées, des portes claquées, des cris, des pleures, des larmes, des grognements c’est le bonheur ?
Si pour vous se réveiller à 3 h du matin par les cris de parents endiablés c’est être heureux, de même que s’occuper des petits frères et sœurs lors de la dite panique c’est être enchanté, je ne vous comprends pas.
Vous me faites bien rire avec vos beaux discours ; la famille c’est important, c’est la règle, la première chose à respecter. Oui vous avez raison, on la respecte tellement bien que dans cette petite maison au bout de cette petite rue les gifles partent comme des éclairs, on ne peut savoir pourquoi. Bravo, c'est beau la famille !
Ah bien sûr être heureux là bas c’est ne pas être libre de ces décisions, non messieurs aujourd’hui c’est comme ceci, demain c’est comme cela et si vous n’êtes pas satisfait vous ne serez pas rembourser. Fallait y penser avant. Penser, non non vous n’avez pas le droit. Faites bien attention à ce que vos pensées respectent bien l’ordre général de cette petite maison. Non remboursable non plus.
Moi je ne vous souhaite qu’une chose : vivez heureux !

1 juillet 2005

pour l'amour de la mort

delirium4qu'elle vienne seulement
cette belle dame noire
qu'elle passe comme le vent
pour moi, pas d'échappatoire.

La douleur me dévore
si fragile et si belle,
mon coeur a eu tord
pauvre petite ritournelle.

Qu'elle périsse dans les flammes
qu'elle trépasse dans son lit,
cette souffrance infâme
pour qui malgré tout je vis.

Et j'y crois comme la mort
si belle et si féroce,
mon coeur a eu tord
d'y croire comme un gosse.

1 juillet 2005

les ténèbres sans fin

cristalComme des cristaux perdus
dans les ténèbres profondes,
mes soupires ne viennent plus
que pour creuser ma tombe.

Ils creusent sans fin,
pour un coeur ravagé
qui assume son destin,
son fardeau argenté.

Des larmes et des pleures
les aident également
pour que soit venue l'heure
de mon évanouissement.

Une souffrance profonde
me ronge de l'intérieur,
une douleur immonde
qui alourdi mon coeur.

Sans cette lueur d'espoir
qui peine à me sauver
il n'y aurait que le noir
de cette sombe destiné.

Mais cet espoir s'éteint
tandis que la mort grandi,
poussant dans mon sein
comme un feu qui bleuit.

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1 juillet 2005

les larmes ont disparues

bittersweet_despairles larmes ne viennent même plus me hanter
dans la tiédeur d'une sombre nuit d'été
J'ai beau vouloir pleurer
rien ne me permet d'y arriver.

Et ma tête explose sous les cris étouffés
lse bruits qui reposent dans mon âme éveillée
Sans que je puisse librement hurler
Mon être réclame d'être libéré.

J'ai beau dire qu'on ne peut vivre dans le passé
Je ne peux pas m'en séparer
Alors que mon âme brûle d'avoir aimée
un homme infâme et désespéré.

Il semble pourtant que je lui ai pardonné
cet être immonde, ce vis incarné,
alors pourquoi revient-il me hanter
dans la tiédeur d'une sombre nuit d'été ?

1 juillet 2005

la folie d'une détestée

11563_436820625_gothique_4_h133640_lCombien de fois ai-je cherché la solution ?
Combien de brouillard a-t-il fallu dissipé
pour que soudain s'impose sans raison
cette sombre et terrifiante fatalité ?

Il n'y a rien pour me sauver
rien que je n'ai déjà essayé.
A quoi bon alors chercher
si c'est ma destiné ?

Je peux tromper les apparances
je peux jouer avec le temps,
je peux cacher ma souffrance
aussi facilement que vent.

Il hurle sans le vouloir
ce filet d'air qui s'enfuit,
mais il revient dans le noir
hanter la petite fille qui git.

Il n'y a rien pour me sauver
rien que je n'ai déjà essayé.
A quoi bon alors chercher
si c'est ma destiné ?

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