1 juillet 2005
les ténèbres sans fin
Comme des cristaux perdus
dans les ténèbres profondes,
mes soupires ne viennent plus
que pour creuser ma tombe.
Ils creusent sans fin,
pour un coeur ravagé
qui assume son destin,
son fardeau argenté.
Des larmes et des pleures
les aident également
pour que soit venue l'heure
de mon évanouissement.
Une souffrance profonde
me ronge de l'intérieur,
une douleur immonde
qui alourdi mon coeur.
Sans cette lueur d'espoir
qui peine à me sauver
il n'y aurait que le noir
de cette sombe destiné.
Mais cet espoir s'éteint
tandis que la mort grandi,
poussant dans mon sein
comme un feu qui bleuit.
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